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Sturla Laegreid : « Les JO, le rêve de tout athlète »

Actuellement en stage en Italie avec son équipe, Sturla Laegreid se projette sur la prochaine saison, avec bien évidemment les Jeux de Pékin en ligne de mire.

La confirmation de la sensation ?

Le Norvégien ne pourra plus se cacher d’ici quelques mois. Pour sa première saison complète en Coupe du Monde, Sturla Holm Laegreid avait fait sensation l’hiver dernier en tenant tête à son leader Johannes Boe jusqu’à la toute dernière course. Sept victoires au compteur, quadruple champion du monde et numéro deux mondial, l’exercice 2020-2021 a dépassé toutes ses attentes.

De retour à l’entraînement depuis début mai, Sturla Holm Laegreid est actuellement en stage en Italie, au Col de Lavazè, avec son équipe. Au micro de Fondo Italia, le biathlète de 24 ans a fait part de ses objectifs pour la prochaine saison. Invité surprise l’année dernière, le Norvégien sera cette fois-ci très attendu fin novembre…

« Bien sûr, pour la prochaine saison il y aura beaucoup plus d’attentes de ma part. Je sais que si je fais tout bien, j’obtiendrai de très bons résultats. »

21.03.2021, xkvx, Biathlon IBU World Cup Oestersund, Massenstart Herren, v.l. Johannes Thingnes Boe (Norway) und Sturla Holm Laegreid (Norway) im Ziel / in the finish

« Je veux performer, mais je dois me rappeler que récemment j’étais malade (ndlr : mononucléose en 2018) et que je n’ai effectué qu’une seule saison en Coupe du Monde. Je ne me fixerai donc pas d’objectifs trop élevés, mais j’espère que je ferai du bon travail cet été avec l’équipe, et que nous serons à un bon niveau d’ici le début de la saison. »

Comme l’ensemble des biathlètes, Sturla Holm Laegreid rêve de briller aux Jeux Olympiques de Pékin. Si des conditions météorologiques compliquées sont attendues sur place, le Norvégien pense que son équipe peut en tirer profit…

« Les Jeux Olympiques sont le rêve de tout athlète. Ce sera une compétition difficile. De fortes gelées et du vent sont attendus, mais je pense que cela nous convient, car nous, Norvégiens, vivons dans le nord et sommes habitués à ces conditions. »

Crédit photo : Kevin Voigt